vendredi 30 mai 2008

DECLARATION de REVENU-e

Je n'en demandais pas tant. ON se croirait pourtant déjà à Noël, hein, Emma_nuelle, ? La météo s’emmêle. Les orages sonnent l’ouverture. Tout tonne, tu m’étonnes. Ton éphéméride n’en ferait qu’à m’a tête. Tu déboules 2 fois ds la mm journée, sauf que ça peut jamais être mieux sans toi. Passe encore que ce soit lundi : tout le monde est à l’envers et chacun maudit, mais moi, avec tes écrits, j’étais ravi. Alors passe encore ! Que tu détonnes. Donne du fort et du gratuit. Ce plaisir… Tout du cadeau d'anniversaire enfin déniché pour le mois dernier pile-poil aujourd’hui, la fête de ma fête idem, la semaine d'avant.

A moins qu’il s’agisse d’un miracle de sainte Sara ?
Te voici, que tu surgisses ainsi ici, toi en personne -si personne ne se moque- répondre, te répandre, reprendre la citation, en lieu et place, où tu seras tj à la tienne pardi, bienvenue et restes-y, A l’Ouest ou non, à défaut d'y être en chair et en os, parmi les égéries ou là, sur moi, devant quoi ! ou derrière avec ta peur de rougir, michkine. Cale-toi entre les lignes. Coule-toi ds l’onde, Sirène. Ne nous laisse pas filer.

Ce que c’est agréable, ces commentaires. Les tiens, je préfère. L’accusé de réception. Qui perçoit quoi ? Je te reçois, donc ne pas te décevoir et te rendre la pareille, serviteur. Tes bouts par terre, infimes traces dont je suis si fier. Et tes reproches presque de ne pas me voir me sidèrent, cité à affronter le hasard jusqu’à passer en Aquitaine, à tes Basques à toi, ce qui expliquerait cela, la classe & la hautaine. Comparaître à ta barre. De grâce, Capitaine, j’aborde un mirage.

Mon idée est juste d’alterner, dérouter la routine : il ne s’agit que d’un contretemps et te voilà atterrée. Une contrariété, ON dirait. J’atermoie. Je n’osais pas. Tu déterres ta syntaxe de guerrière. Je me ploie ds les prières et les remerciements, épris d’hier, que ça colle, du ciment mm si le si ment tt le temps. Je le redis si souvent. Peut-être que ça suffira à piéger les proverbes, les pros acerbes de la sentence, les rancunes tenancières et les balivernes. « Un tiens » vaut-il vraiment ce vieux « Tu l’auras » ? Mais ça, tu sais, tu sens, oui ?

Y reviendras-tu seulement. Quand ? Seule ? Et le seul ment tout autant. Du matin au soir, la balle est ds mon camp, celle du mouchoir de soie, la cartouche dedans, l’histoire de Bud et de notre Yasmine. J’en fais ta complice, mira, puisque c’est par elle que je t’ai trouvée, aperçue.

Il ne tient qu’à encourager le destin, y croire, s’emballer pour rien : L’Imprudence me surveille, tu connais. J’ai des fantômes en jachère. Voyageur en exil, à tes pieds, promis, super-stitieux entre tes mains, juré. Il ne faut pas et renversé, admirateur & à travers, (attention, 2 fois), la crinière ébouriffée qui a peu à t’envier, surtout m’y empêtrer comme ces mots qui devraient servir de caresses et que je t’enroule en collier, accolés, coquins intentionnés. « Je ne te prends pas en traître. »

Par chez toi, c’est tant de bourrasques et de tempêtes, Les Grandes Marées chantées. Par chez moi, si tant est que je pose mon sac qq part, un triangle magique m’agite de Arles à Nîmes en poussant jusqu’à Béziers. Il y a du Toulouse traversé, Perpinya, un vrai maroquin écarté, mais rien vers l’océan, pas plus loin. C’est trop grand. Ca te ressemble, tout à ton honneur de ne pas monter sur les grands chevaux polémiques de Parigots qui ne connaissent rien au sang ni au manque, les bouffis, les bobos. En revanche tu dois être rudement belle sur un Alezan ou un Lituanien, toi. Quel est ton signe ? J’ai déjà ta signature. Elle m’enivre. Tu m’inspires. Ne me délivre pas. Tant pis, vas-y pour à-no-Nîmes. Pas là-bas donc, je reste sur tes gardes, mégarde. Garde à toi avouée. Garde-toi comme tu es. J’ai pas fini de traîner autour de ton/tout tes site(s), sans savoir auquel me vouer. T’es mon lien, bene. Tiens-moi bien.

Ma saison est entamée, salaison où reprendre du poil de la bête, ne + hésiter à rebrousser le chagrin. De quoi me monter le bourrichon, pointer du menton, tu as vu ça en peña, les gonzes qui se la pètent et celui qui baisse la tête, l’échine courbée et la main vide en parcourant la fête. Le pire peut arriver à la va-vite pour peu que le Listel soit trop froid et moi à l’étroit. De Pâques à l’Assomption, il y a du pèlerinage ds tt ça. Une tradition, un moindre mal. Alors Dax ou Bayonne… Motus et cœur cousu, pour ne pas dire foutu. Le bondage du temps. « Nomina sunt consequentia rerum.» Tu entends ?
Je ne connais pas ce coin. Il faudrait que tu m’invites. Evite, S que tu mesures où tu t’embringues, niña ? Pestiféré, tel à l’entrée de Sète, je pêche par excès. Tu me manques déjà. Je sais ça : j’ai vu du paradis dans tes images. Te croiser revient à tomber. Je suis bien tombé peut-être, mal barré en fait, bien bas, à genoux. C là que tu blesses. ‘suffit ! Il dit quoi, ton mari ?

Emma_a_l'Ouest L'1so O% Ai-Je la Tête ? Emma_a_l'Ouest L'1so Où Ai-Je La Tête ?
Qu’est-ce que tu es mimi, Une de Ciel, pour parodier Polanski dont je m’étonne qu’il ne soit pas de Ceux que (tu) Aime(s). Il a pourtant lui aussi une Emmanuelle assignée. Tu ‘peux pas tout mettre, certes. Moi, je t’ai tout dit. Ton retard & ton retour, ta délicatesse, tes doutes et ton urgence, cet emporte-pièce qui confronte ta sincérité à mes manigances, mes danses de séduction si dérisoire devant ton élan, un truc à la Romy sans flagornerie, désarmante, aimante comme un aimant s’accroche, un tranchant s’approche, gagnante, j’adore.
A tous les coups, permise. Mais les coups sont parfois trop petits. Ils courent à la mesquinerie : « Les jeunes filles ont besoin de romance & parfois d’insomnies. », tu suis ? Partie remise, tu es terrible, tellurique. Quel enjeu. Le répondant et la maîtresse, L’1so-lent/lite/luble face à sa fascinante qui me dresse, ma leçon & beauté. Et ce 40 affiché à ton pseudonyme de charmante maritime où m’engloutir, Ondine, au lieu de m’en ficher comme un minot, me prévient de garder mes distances, Landaise rématante en bout de lance, la quarantaine de réserve avant l’embolie, la folie. La mienne minée et toi, mélopée. Ma langue, cette fois, dans ta bouche, tu permets ? Voilà qui est dit. J’oubliais : « Merci. » Grazie mille, milady. C pas terminé.

4 commentaires:

  1. quelle verve :d quelle éloquence ! décidemment tu me sidéres , je ne serais pas à l'ouest que je redescendrais dans le sud voir si j'y suis ,à nimes? cette ville ou je vécu longtemps ou perpignan? ou je vais regulierement ...tout ce que tu dis est pour me flatter ou vraiment parce ce que en petit curieux tu veux savoir mon signe ? lol et je reste imagée vu que je ne sais pas ou tu as la tête ....;)Et toi? tu piques?ton année de naissance est elle un aussi bon cru que la mienne?polanski....j'aime,et sa femme aussi d'ailleurs :p
    bisous
    emma_nuelle

    RépondreSupprimer
  2. ps : l'emmanuelle40 de 21 ans de corpulence normale, du signe de la balance c'est pas moi ....perdu !lol
    emma_nuelle

    RépondreSupprimer
  3. MA_nuelle,
    décidément à la charge, tu recharges, tj sur le coup et ma tête où tu veux, pourvu que ma langue n'aille pas qu'au chat. A l'oreille déjà.

    Ca va en rajouter ds ta collection d'images, puisque tu sembles rester aussi sage qu'elles... Juste ici, j'espère. Je perds ? Seulement mon temps ou rien pour apprendre comment comprendre ? A l'oreille déjà.

    Car quitte à piquer autant que ce soit mieux que C pin-up affichées. Je n'ai aucune intention de te faire mal, tu sais. Tt flatteur a envie des beaux fruits de celle qui l'écoute. A l'oreille déjà.

    Et puisque les fiches t'intéressent autant que les chiffres, sans rivaliser avec ton 69 deviné (si tu n'as pas encore fêté ton anniv'),
    je suis à qq années en dessous. J'aurais préféré des cm, j'avoue. A l'oreille déjà.

    Ca fera 4 ou 5 ans de différence,
    tels nos cheveux coupés autant ou mes doigts qui se tendent aussi en attendant que tu t'en saisisses comme tu m'as saisi jusqu'ici.
    A peine de l'avance, une préséance histoire de me préparer à t'accueillir, à Sète ou Parigi, tant pis. Le paradis était pris. Pas la tête au moins ? Ou que l'oreille déjà.

    C mieux que tu ne sois pas sur ce 21, ni de cette balance de cousin. Qt à la corpulence normale, il faudra me dire ce que ça signifie (oh oui, viens me dire à l'oreille déjà !) ou l'importance que ça a : pour les dames, c tj un souci.

    Alors qu'S que je n'ai pas gagné si tu me laisses au corps perdu, dis-moi ? Oh oui, dis-moi, à l'oreille déjà.

    RépondreSupprimer
  4. l'histoire de la corpulence ne vient pas de moi elle vient du lien que tu as inséré dans ton message...je ne suis pas douée pour me décrire , ni parler de moi ...
    et je suis sagittaire/ scorpion c'est vraiment important de le savoir parce que ca peut poser des problemes mdr !
    emma

    RépondreSupprimer


C gentil tout plein de te fendre d'une petite note, dis !
Seule_ment n'oublie pas d'indiquer ton petit nom voire 1 lien si tu espères une réponse.

Abrazo