lundi 28 juillet 2008

ALERTE ORANGE & FEU VERT

Il était temps. Ce n'est pas trop tôt. « Et voilà, c'est l'heure. Le moment choisi. » comme chanterait Eliette. Je n’y tenais plus. Les illusions, c’est bon un moment. Les mails aussi. J’allais me coltiner avec la réalité, face à face, mm s’il s’agissait plutôt de mâter fesses et fesses.
En profitant de ma descente à la Fnac Italie pour prendre l’album de Christophe, j’ai fait un saut à l’espace informatique. Ca n’a pas été très long. En général les vendeurs sont plutôt sympa. Pour mon Mac, pas trop le choix, si ce n’est micro intégré ou filaire… Il n’existe pas grand chose en matière de webcam pour cette famille. Les nouveaux sortent dorénavant avec une intégrée. A deux doigts de me payer un portable.

Ce serait utile dans mes voyages. Ca garderait le lien avec les contacts. Je pourrais surtout mater qq dvd pendant le trajet et après. Le côté pratique : sur place, ça évite l’ennui certains soirs devant le môle Saint Louis, si si. La cliente est tj plus dispo en province. Il y a moins d’opportunités. ON a vite fait le tour du cheptel. Sans compter le risque de tomber sur une connaissance. « Paris est tout petit pour ceux qui s’aiment comme nous d’un aussi grand amour. » Mais j’aime autant mieux les mettre dans un orifice plus humide.


De toute façon, ça n’aurait pas pisser très loin. Impossible de réaliser ma véritable intention : charger msn, le new Windows Live Messenger. « L’avenir du Hotmail », ils prétendent. C moi qui bande. Voilà du chaud. Je suis attendu. La référence. Une chance ? Je voudrais voir.

Mézig, le précurseur du minitel, l'adepte des réseaux téléphoniques, à autre époque, autre méthode. Une approche différente, histoire de tchater enfin avec des donzelles à oil-p derrière l’écran, un miracle et pas des professionnelles. Juger sur pièces, admirer la marchandise. Ne plus tenir la chandelle, la faire brûler par les deux bouts. Vraiment se rincer l’œil pour le coup bien nommé. Vive le progrès !


Mais Monsieur Gates n’ouvr
e pas ses portes facilement à son concurrent légendaire. Il faut tripatouiller avec tte une série d’applications plus ou moins fiables à installer avec plus ou moins de bonheur. Du pis-aller, des infos à croiser d'un forum à l'autre, des doutes sur l'ancienneté des dates. Ca fait peur. Ca rend fou. Je dois protéger avec d’autres logiciels pour débusquer les espions. ON se mord la queue pour rien parfois. ON peut pourtant faire mieux souvent avec.

Les icônes de Word qui sont d’ordinaire marines sont devenues jaunes avec une image de Post-It, tu le crois ? Ca n’a rien à voir. Ca m’a calmé. Sous OS X, ça craint peu, mais qui sait ? Il n’y a pas urgence. Le feu est sous mon jean, pas au lac. A l’arrivée, de toutes façons, c sans garantie. Autant technique que physique. Je verrai à l’usage. Que je me fasse la main avant de m’en astiquer le manche. ON doit déjà pouvoir un chouia s’amuser avec cette caméra.
Et puis tu peux tj passer à la maison, ça fait casserole à l'occasion.

Je voulais presque l’intégrer en direct sur le blog, macache. Rien trouvé qui m’aide. Ou alors il faut encore s’inscrire ailleurs et rapatrier, coller un lien. Fait iech ! Je me dépatouille. Ca fait des photos déjà. C marrant. Pas révolutionnaire, mais au moins je peux envoyer d’autres clichés que les qq malheureux récupérés au hasard de prises de vues professionnelles. Torse nu, c plus sexy qu’en costard cravate. Quoi que…

J’envisage de récupérer un vrai appareil numérique avec des S’miles qui voudront peut-être bien enfin se transformer sans réclamer des suppléments sous Carte Bleue au détriment de mon AmEx. Quelle fatigue, toutes ces procédures, ces manip’ à la con. C encore des trucs à finir par préférer draguer sous la pluie, ça.


Ca m’a l’air aussi compliqué que pour faire arrêter le boucan des gouinasses du 3ème. Pas des mugissements de jouissance, non : un boxon de ziq tantôt techno, tantôt hard. Des trucs jamais entendus ailleurs, tu m’étonnes. De telles daubes. Pour preuve, des fois je confonds avec l'essorage du lave-linge de la voisine. C peut-être pour ça qu’elles foutent le son à fond. L'explosion, disons. Le feu reste hors de question. Toujours ça de mis, cela dit. Mais c à côté. Elles ne savent pas, ces tromblons.


A croire qu'elles doivent avoir des intérêts ds l’affaire. Que le bouche à oreille, malgré ce qu'il en restera, fonctionne. En tt cas, c'est mal barré. Elles aussi. Des démarches sont engagées. Là aussi, il y a de l'instance pas plus claire dans l'air : loi modifiée du 5 mars 2007 relative à la prévention de la délinquance - Article 18. Quelles connes !!! Je devrais peut-être me contenter de leur fournir qq piles pour leurs appareils vibrant a priori en panne. Moi, j'ai d'autres chattes à lécher.


En complément de la mise-à-jour, j’en ai profité pour épiler mon paquet encore à l’abri du soleil, bien pâlichon malgré mes escapades méridionales. Je compte bronzer tout ça le mois prochain sur la terrasse de Béziers, là où le « Bitte est roi. » C plus doux que mes joues, principe du rebrousse-poil. Bisous. A genoux. Je fais attention. Toutes ces lames qui glissent sur mes burnes affolées m’amusent. Ca rafraîchit.


Petite habitude que j’ai conservée de mes tournages pour M6. C tj drôle de voir mon zgueg ainsi dégarni. La bite à zéro. Un peu ce que doivent ressentir les tondus qui en profitent pour masquer leur calvitie. Là, ça aurait plutôt tendance à m’exciter. Mes couilles toutes douces, aérées, sans les désagréments d’odeurs avec cette chaleur. Prêtes à descendre dans une jolie bouche qui saura apprécier. J’aime bien. Ma coupe d’été. Il n’y a plus qu’à téter. Et mirer. ON doit pouvoir se voir dedans maintenant tellement elles sont nickel. Faut essayer. Une vraie rentrée. Reste à savoir ds quelle intimité. Me voici paré pour le meilleur et pour faire jouir. Attention au départ de feu. Je lance l’incendie.

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