dimanche 6 juillet 2008

La BELLE SAISON

Mieux qu'un site de missloan qd il pleut et elle aussi ou les webcams étourdissantes de Cyssou94, les titillants rayons du soleil allument le pays. Quel salaud. Il chauffe tout le monde avec ses canicules. Comment veux-tu, comment veux-tu que je capitule ? L'été éclate. Ds quel état, il ns met. Les mets s’étalent. Je n’en peux mais. J'en veux plus. 
La plage du lido en sortant de Sète pour Béziers est un super spot. ÇA doit marcher sur toutes les côtes de l'hexagone. ÇA fonctionne dès qu'il y a sea 'n sun. Le sexe s'invite. Il s'installe, pas compliqué. De tous sexes. La grande friterie, la haute marée. Totales ici, voici qd mm l'endroit et souvent l'envers où ni une ni deux toutes les pépés se dessapent sans moufter. Vous en connaissez bcp d'occasions, vs, les Aoûtiennes, (et qu'à cela ne tienne, C reculer pour mieux se faire bronzer), où déjà bien déloqué sur le sable ON peut voir, sans chercher à justifier sa présence, des femmes de tous horizons, toutes morphologies et ttes conditions ? Mâter franco s'approcher autant inexorablement que par chance du périmètre où j'essaie, si ce n'est maîtriser, au moins de dissimuler les successives érections qui me prennent ss la cuisson du brûleur ? Il n'y a que les churros qui réagissent ainsi à la température en vrai.

Elles voient bien que je suis seul. Elles savent bien que je ne suis pas là juste à attendre ma femme, nos gamins et, que sais-je, les beaux-parents accompagnés des miens venus avec quelques autres amis. Il y a peu de chance que je ne sois qu'un secouriste en pause. Alors ?

J'ai vu la silhouette se diriger ds ma direction. J'ai évalué les risques ou la concurrence de ce type qui l'accompagne parfois. Mm pas tj. Ils les lâchent, les jobars. Elles filent en liberté, se fient à leur bon-vouloir. Elles s'y croient. Je suis prêt. Croisons-ns.

J'ai choisi entre les deux copines qui arrivent en se marrant. Quoi que… La saison se prête aux brochettes. Je leur boufferai bien le barbecue à ttes les deux, mézig. Et si jamais ces deux sont trois… Les yeux du
loup seraient-ils plus gros que mon bas-ventre ? Il 'relève pas seulement le défi visiblement. Il attend. Il est content. Je bande. Mes doigts fourmillent. Ils fouillent le sable pour le moment. Ma bouche salive. Je boirais bien qq chose, de doux, de tiède, une humeur forte et parfumée, de celle qui doit perler entre ses lèvres probablement ourlées, un peu violacées, à violenter suavement. Je voudrais savoir, y donner ma langue et laper. Avaler, ns délecter. Prendre notre temps et notre pied.
La poitrine de l'une et l'astre de l’autre, la nonchalance de celle-ci qui déboule en + et en bouldé, n'en jetez plus, presque résignée à l'idée de devoir combien gérer les assauts de testostérone qui ne vont pas manquer se manifester de parts et d'autres de la zone dite « surveillée », je n'ai pas inventé. Elle a gardé le bracelet un peu kitsch ou la chaînette à la cheville qd ce n'est pas ce tatouage au henné dont elle s'est entiché hier soir après avoir englouti un cornet prémonitoire. Elle voudrait signaler sans l'assumer qu'elle serait encore bien, peut-être pas réelle_ment pour en prendre un, mais au moins ds le coup. Et celle-là qui s'installe avec son mioche en se la jouant à sa mémère de famille au-dessus de tte libido, les tétons déjà à l'air ! Tu la vois pas, ma gaule au garde à vous ou quoi ?
Bronzette Nue Intégrale Où Ai-je LA Tête ?
En mois d'une minute, elle m'a mis sous le nez son 95C... J'hésite. Je me tâte. Ai-je bien évalué ? Je reprends une gorgée, d'eau malheureusement, à la bouteille que je vais difficilement extirper de mon sac, le temps de capter son regard, en tt cas, lui confirmer : ce n'est pas l'absence d'alliance qui doit la rassurer, mais le gonflement sous mon maillot, qui n'est pas dû au bisou de la méduse, mais bien dur pour lui confirmer que tout est en place. Mon paquet et la situation. Rien de particulier, rien de plus normal, un rappel. Elle avait oublié. La semaine, le travail, les conventions, une femme comme une autre, plus préoccupée à survivre qu'à profiter. Le désir limité au nougat glacé, la rediffusion d'une série à la con ou les progrès du régime.
Avec un peu, bcp, passionnément, à la folie de chance ou d'excitation, elles iront jusqu'à tenter les qq exercices chopper ici et là pour garder un corps qui ne sera jamais aussi impeccable que celui de la gafette slave qui posait de gaz et entre deux vomissements sur une plage fiscalement paradisiaque. La réalité est qu'elle ne sera pas satisfaite tant qu'elle n'aura pas, non pas perdu 10 kilos, mais disons plutôt dix ans. Ne disons rien, faisons. Je ne suis pas là pour ÇA. Je n'en ai rien à faire. A part me la faire. Je veux bien la faire maigrir, l’attraper avec un coup de soleil en prime, mais rien à carrer du temps perdu. T'avais qu'à arriver avant. ÇA commence à compter ttes ces années où je me tends. Prends. Le moment est venu. C bon, Le Bon. La Culbute et Le Gluant. Le Calbute et le Collant filant. ÇA le sera. ÇA va le faire. Ne t’en fais pas. Viens là. Il n’y a plus de faux-bond. La seule que j’ai à foutre, dont je n'ai pas de doute, c’est toi. La pâlichonne fraîchement débarquée, la cramée qui va rentrer avant que je n'y sois arrivé, toutes ces femmes admirables que je cherche à pénétrer. Je suis là pour ÇA. Aussi. ÇA suinte à travers la fibre. Qui bout le plus entre le cagnard et mon zgeg ?

Elle installe la serviette, jambes tendues, écartées, ne me séparant de son superbe cul que d'un nouveau minikini de l'année et d'une bonne dose de raison pour ne pas l'écarter et lui laper cette rondelle qui doit être bien épilée et sentir autant le monoï que la cyprine qui a dû y couler avant qu'elle s'assied. ÇA suffit.
C quoi ÇA encore ? Ces mamelons qu'elle déballe comme ON dégoupille deux délicieuses grenades sont loin de me laisser indifférents. Celui qui lui fait croire le contraire, en lui rendant impassiblement la monnaie pour son gel intime, a dû conseiller à la sienne d'aller seule au milieu de tous « ces blaireaux d'estivants » pendant qu'il allait faire les soldes. Il viendra la chercher ds sa bagnole climatisée qd il aura fini de regarder l'arrivée de l'étape de montagne.

Il faudrait que j'aille me rafraîchir. Il vaudrait mieux que je ne vois pas maintenant ces mains enduire ses tétons de cette crème qui ressemble tellement à celle qui monte dans mon caleçon. S qu’elle astiquera pareil mon manchon tout à l’heure ? J'observe à la dérobée sans déborder. Elle fait semblant de s'en cogner. C que je m'en ferais bien autant. Cette façon qu'elle a de malaxer ses morceaux. ÇA y est, j’ai décalotté. Et si elle préférait que je sois circoncis ? C la règle. La mienne est montée. J'ai le temps et l'habitude. Je vais me tremper. J'espère pouvoir lui en inspirer pareil. Elle n'a pas l'air de rechigner à avaler.
A quel moment sinon ? A quelle occasion, viendront-elles s'exhiber sans chipoter ? Buffet à volonté. Plus du virtuel, pas du discret. Fini les décolletés, les échancrés, les trucs à moitié pardonnés, les doudounes pour engoncer, tout masquer, ne rien laisser échapper. Mentir sur la marchandise. Une vraie chanson de Pierre Perret. Les Nénés ou Le Pompom. « Les tendus, les rikikis et les affaissés à fesser. » « Les fendus, bien bugnés, les serrés. » Et Popotins : « Les raplaplas, les garages à bite ou les inquiets. »
Il y a de quoi, quoi ! Rien de pareil, l'hiver est qualifié de sport tant ce n'est pas gagné. Là, tout est à portée, apporté. Les soldes, fin de série et des simagrées. Rien ne doit rester. Le meilleur moment de l'année. Bonnes vacances.

3 commentaires:

  1. il est drole et trop dejanté ton texte!!!!!
    bises
    tania
    www.votretania.com

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  2. C bien gentil à toi, Tania.
    Une femme qui rit,
    C tj bon a prendre.

    Comment ne pas déjanter ? Le moyen de ne pas sortir de la route avec un chauffeur pareil ?
    Tu dépotes, tu décoiffes : ne lâche pas le manche.
    J'ai sorti la béquille.

    A très vite sur nos plages.

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  3. Ah oui sacré texte que voilà, en sortant de soiree c'est delirant !! bravo a ton imagination debordante et pour ton com sur mon blog
    bises

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C gentil tout plein de te fendre d'une petite note, dis !
Seule_ment n'oublie pas d'indiquer ton petit nom voire 1 lien si tu espères une réponse.

Abrazo