jeudi 2 décembre 2010

ça VAUT CE QUE ça VAUT

L'horoscope de demain entre les mains et la Saint François-Xavier que je lis en éphéméride. Donc retour forcé aux années libres et pas seule_ment en classe Florent. Mon FX auquel je pense aussitôt, mes rêves qui m'emmènent (!), mes yeux qui se relèvent 2 ce journal et fixent le passager du métro' face à moi. Je pense à Roé, puisqu'il lui ressemble, ces cheveux blancs qui m'étonnent qd ils ne sont pas longs. Mais... C'est lui. Celui d'origine, François-Xavier H., l'autre me nargue à Nîmes.
Comme 1 conte, une de ces 1so-lences du hasard que refuse 4-ine, qui le plonge dans une pseudo lecture indiquant qu'il m'a bi1 repéré (Je le connais) avant que je réalise qu'il était à côté, devant, piégé, revenu de toutes ces années, 24 et ré-essai de 18 après le gâchis du déjeuner au Toro Loco pour une amie que je voulais aider plutôt que me servir. Elle a abusé. Il l'a mal pris, tant pis. J'en suis devenu ce que je suis. Tant mieux pour celles que je suis, je dis. Moi, après...
Mon émotion et mon corps qui enveloppe ce ressuscité, ma technique à brancher comme je sais avec celles qui me séduisent. Là, j'agis. J'y vais. Je sais. Puisque. Sale singe, je connais déjà ce que je vais dire qd je m'assois près de lui en prévoyant qu'en changeant la géographie, il n'aura pas deviné que j'ai bougé, si discret, la surprise réactivée. 1 réflexe de traqué, 1 truc de survie, Yougoslavie. Des fois, je devine à quel point je suis traumatisé. 
Je vouvoie la victime. J'ai 1 doute somme toute : nous sommes si vieux, si mieux. Jouerons-nous encore à tous ses jeux ? Et leurs règles ? Pas unique-ment mens-truelles ! Il sera moins ému à m'avouer qu'il est troublé de me retrouver, cette fois-ci. Toutefois j'ai pris. Appris. 'tant En Emporte Le Temps, vas-y. Ce coup-ci, je lui serai moins redevable de m'avoir sauvé. Il sourit de me voir 1si.
" C'est bien votre fête dem1, Monsieur ?  " L'effet n'a pas manqué. Mon assurance l'a pris de court. La confiance qu'il m'avait insufflée jadis lui revi1 en pleine farce tant d'années après. Il n'est pas question de manipulation, mais j'ai des systèmes, des solutions depuis. Des à-qui d'autres que lui (déjà dit) ? L'habitude qui tue. Même si elles ne riment à ri1. (Ti1, il faut une césure -pourvu qu'elle plaise à Didascallie si elle ne connait pas, sinon je laisse là.) Il a bougé la Tête pour se résoudre à constater que je n'étais plus à ma place. Ma place, place ! Complexe des tranquilles qui réagissent à la menace des fugaces. Je me casse. Explosion ou je passe ? Vraiment surpris pour le coup. Après, moi...
J'ai caressé. J'a fait ma chatte, tu sais. J'essaie. Je saigne : elle, c'était moi. Déjà que j'étais elle-autre histoire. Voilà. Qu'ON ne s'étonne pas si... Si ? Je sais faire tout. Tout faire. Et l'enfer, CA aussi. Lui rendre ce qu'il m'a admis, lui e tutti quanti, en tout cas ce qu'il m'a libéré à l'époque, suis ! Maintenant je pratique. Comme si et qq nuits. Il ne peut pas résister. Qui pourrait ? Je ne parle pas de toi, pour une fois, je progresse, méfie-toi (Non). Je vis. OUI ! Lui, il ne mesure pas. Tels ceux qui ne (se) rendent pas, ni compte ni quoi que ce soit. Les pontes. Qui qu'il en soit et satin. Je suis bon, pas juste bi1. Je constate à mon propre écoeurement. Moi, après...
A toute station, il pouvait filer : je connais les étoiles. Il fallait lui témoigner son intérêt, mon enthousiasme à le retrouver, son importance parmi les paumés de vue, n'importe quoi qui lui plaît, sans oublier lui dire aussi la douleur de ne pas y être arrivé ni salarié. Chacun sa position. Sans l'avoir transformée, les appelés et les émus. Vite sans speeder : lui montrer le vécu-le cuvé. Toucher, couler. CA marche pour les filles et Cyrano "à la fin de l'envoi..." Je sens qu'il sent. Il en est. Pas comme je voulais. Après, moi...
Et répéter que finalement l'essentiel soit que nous étions encore vivants. Finale-ment. Nous. Etions-nous ? Le sommes-nous encore ? Et le coeur ? Le final de vérité pourtant. Bonus et pensée aux disparus. Juste -us. Le e cassé, passé aux oubliettes avec des gafettes qui me mettent en miettes. Une pensée, le panse-ment tout le temps. + les lignes entre les autres plus malignes. Mes mouettes, Sète, l'impasse sur les toros et j'en passe sur le Lido, la pointe courte, le môle. Mon accent assumé doré-navrant comme des cicatrices qu'ON ne peut plus opérer. Les miennes sont-elles apparu si  tard ? J'obtem-perds et mère. 1 jour je dirai mon prénom, celui qui me dit encore Mamia qd elle s'énerve, qu'elle s'1nquiète qu'ON ne m'appelle pas Didier. Qu'elle était là avant, qu'elle CON-state qu'ON puisse rechigner à s'1sérer, elle écrivait : " sincéré " (C qd mm + simple l'amour qd " ses s1 serrent " à ma manière/Là je déconne, mais je suis sûr que je suis le plus fort. Là-dessus, sur et mûr. Jeux de maux-dits et merci à Navarre, dis.). Tantôt. Qd je ne  recoure pas à L'1so- Après, moi...
Tout ce qu'il a raté, le François-Xavier. Sans jouer mon schizo à tous les tourments. Malgré tout ce qu'il m'a apporté (!), le michto. Je ne parle pas de moi tout le TANT. C'était pour FX à ce moment. Comme quoi il est prégnant nonobstant. Et d'autres autant sans accord équivalent, différAnt. J'en ai profité. 
Qu'est-ce QUEUE j'en ai profité. 
Encore. 10 jours au dernier levage, j'ai écrit souvent. Je préfère. 10 jours qd mm ss éjaculer, dommage. Autrement, pas comme j'espérais. J'aurais voulu lui témoigner plus vite qu'un speed-daté, lui montrer que sans être pédé ON peut s'apprécier. Je réalise que CA sert maintenant. CA rend gagnant. Aux autres. Au moins. Moi, après...
Bonne fête, François-Xavier. Qui lui dira ? Qui y pensera ? Et qu'ON (lui pas plus) arrête-en-travers-de-ma-présence de me demander sans cesser-de-me-blesser si j'écris toujours. Je ne suis pas à court, vous ne voyez donc ri1 ? Après moi...

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Abrazo