mardi 21 août 2012

QUELQUES MOTS d'ANNIVERSAIRE

Que tout te soit tel que je te le souhaite tellement, au moins équivalent à ce que je te souhaite tt le temps, que tu sois là ou pas.
Excellents et chouettes, que tes rêves se répètent autant que je ne le ferai jamais assez pour arriver à m’en lasser avant de te remercier malgré tout et ce rien qui m’éteint,
après ttes ces années partagées, que tu sois là ou pas,
accumulées, vécues déjà,
un extrait, en commun, c bien, mm de loin, et les yeux et le coeur n’y entravent que tchi,
plutôt que sans t’avoir rencontrée,
parce que c tj + de toi, que ce soit ou pas pour moi : tt ce qui vient de toi, j’adore ÇA, que tu sois là ou pas.
Alors que l’insolence du hasard soit si forte pour que tu sois de St-Christophe évidemment, la fête exprès du patron, le seul que je respecte, mettons, parce qu’il est de ma tradition, ma condition sine qua non, ma transmission d’une cigogne,
celle qui fait de ce moment pour ton absence, l’inexorable raison et de ton anniversaire, ma logique sanction.
Dilemme extrême qui dit tant et qui sème ce vent qui m’embête, tel ce grand qui s’entête, le courant qui te donne vie en me l’interdisant, ta propriété privée qui me signifie que si tu es ainsi, tu as priorité, la prophétie, les si promis embouteillés.
Justice Karen Aza Azria Où Ai-Je La Tête ?
Tes consignes m’ont con_damné où ta porte à faux, celle qui me coupe tes jambes que j’aimais à mon cou et l’herbe ss le pied à finir dessous,
me laissant aux tiens agenouillé, voyageur arrivé, dont tu suis pourtant l’esprit, me devançant, émue, partie, mm si tu fuis autant le fruit, celui qui ravit, défendu depuis tes temps,
ce parfait d’un dont tu es née, du paradis qui t’a créée,
le parfum d’eux ds lequel ns voici emberlificotés, tes aïeux respectés comme je le fais, n’est-ce pas ? Que tu sois là ou pas.
Nos exils permanents, de chaque côté, ce pied de nez, cette origine d’où les étoiles ne savent que filer, du gâchis, à me laisser bader la Gadji, mais surtout sans y toucher, ou presque, voleur de poule, valeur de chair, en lèche vitrine sur nos principes, en chasse gardée & précipice nargué, que tu sois là ou pas.
Tu y es, ma châsse fermée, enchristée pour l’éternité et chasteté. Tous mes voeux pour la suite et moi dedans si possible, je m’invite, tu m’évites.
Tekameli, à mon tour maintenant, le refrain des parents, mais T jamais là.
Justement à cause d’une croix et moi en cause, voilà.
Tibi, avec toi pour les siècles des siècles, qu’ils soient aussi longs que mes sentiments,
pendant que je trouve un pendant comme je t’ai trouvée, mon diamant, de quoi rendre au cadeau la pareille, l’impossible à gâter, les déesses dépitées. Quitte à me décapiter de nouveau. Tu es merveille, que tu sois là ou pas.
Fasse que ce jour et les prochains te soient tels que tu es : des fleurs et des projets, tt ce qu’il te plaît, de l’eau pour ta peau, du feu pour tes mieux, du miel dans ton ciel, sers-toi, amande. Le chaud sur ton dos, le bien pour tes reins et tt ce que tu veux, tu le vaux, parole d’afoureux.
Mais si des fois tu n’y arrives pas, sache enfin ce que c que manquer de toi, sécher sans pouvoir plus donner la langue qu'au chat.
Comment m’y prendre pour te combler, ma Suprême, infinie, qui rime partout et par moi après toi, que tu sois là ou pas, Macaren à tt prix,
qui que tu pries où que tu sois.

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