mercredi 5 juin 2013

MAMIA

L'1fection respiratoire est normale sur la BPCO. Elle ne pourra être soignée tant que les vertèbres seront cassées, la BPCO jamais. Surtout tant que la spécialiste (?) ne saura pas combi1. Elles ne seront pas réparées tant que l'aorte ne se sera pas cicatrisée, si toute fois... et quel miracle ? Malgré la torture terrible, il n'est tj pas question d'envisager davantage le remplace_ment 2 hanche, tant que l'aorte et cetera et vice versa.
LA voir marcher (avancer ?) accrochée à la potence de circonstance ki trimbale C serums et antibiotiques, qd mm pour vérifier ses prescriptions en attendant qu'une 1firmière tourne son regard D ordres du jour laiC par un chef 2 sévice en terrasse. Me laisser rembarrer qd j'éC les éD. Rester là surtout au cas où. 
Sa polyarthrite ne la ramène pas + ke la docteur sensée la soigner qui racole son responsable qd L n'a plus d'argument pour passer à son vois1. En avant sans pénaliT. L'autre diplômée consulte ses 12 ans 2 spécialisation en pneumologie pour proposer : "maison de repos." 7 vie ns aura bi1 fait chier.
+faire l'1passe sur les souvenirs ke l'AVC efface. Cheval coincé ds son box, L se débat, marronne, intenable. Plus que jamais à ruer ds les brancards qu'ON veut lui glisser, le matelas anti-escarre qu'elle écarte. Ni canne, ni déambulateur, la pleine douleur à refuser le bassin pour caguer, se l'arracher jusqu'aux gogues plutôt que renoncer. Génération de survivants intraitables, des pionniers, piolets. 
Je parle + fort comme d'hab' pour évoquer les évènements, l'extérieur, une autre journée sans malheur ni nausée Kite à paraître gênant à la petite adoptée en tr1 2 vernir les pieds 2 sa mère à côT ki les néglige depuis sa chimio'. Nouvelle patiente. Ns en compterons bientôt 4 depuis son entrée. Lire à SA place l'1dice du jeu à l'écran, donc à voix haute et égoïste, lui évite qu'elle tende ce bras qui se détache 2 la prothèse DmonT pour lever le son. T1brer comme G appris lors 2 mes velléiT 2 spectacle, ÇA sert à l'arriV (!). 
Les banderilles m'épuisent en regrettant ke la foule s'écarte des strapont1 qu'elle me libère au couloir qu'elle dégage à plus d'heure ss deviner 7 détresse ki paraît violence. Qd je rêve me prendre ds C bras comme le + s1cère Free Hugs où m'effondrer enf1. Le tunnel éternel, le calvaire vers l'enfer. La course quotidienne pour la visiter, rentrer, bouffer, m'écrouler pareil à quêter le sommeil qui l'a quittée. Au lever, travailler, m'arranger pour gérer et padre mio largué. La cavalcade, ligne 13, superstition. Le retard annoncé suite à un voyageur malade, sans blague. SA générosité inaltérée à envisager déjà remercier l'aide-soignante du matin qui LUI fait sa toilette. 
C pour tt le monde pareil voire trop souvent pire et la barbarie ki persiste à l'entour m'affaiblit. Le reste m'importe peu aussi. J'en ai pris mon parti, j'en suis sorti. L'actualité, ce qui peut arriver, l'humanité me paraissent si étrangers, un programme éloigné où j'en vois s'agiter. Peut-être G enf1 trouver comment ne + souffrir 2 la nuque à l'épaule en dormant par terre comme L m'a appris, ÇA aussi. Comme avant. Avant : "(par terre) ...ne te crois pas au-dessus, Chavaro." 
MAIS ne pas savoir où l'écrire parce qu'"il ne faut pas le dire", dit L, et que j'essaie de fuir puisK je ne crie pas.

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