mardi 14 juillet 2015

NOCES de SANS

Tant de temps après, ON y est.
Telle_ment + tard, c’est ce soir.
L’absence règne, Macaren’.
La peine saigne. Elle gêne.
Fête nationale,
défaite personnelle.
Nulle autre que toi
ne pouvait mieux (se) défiler ce jour-là.
Aucune autre de tte manière, qu'L qu'L soit,
que toi (+1000x et cetera) : 
carrefour Botzaris,
angle des Buttes Chaumont et de l’Enfer...
Planté, tj là, à jamais, las.
J’espère que tu vas bien,
que tt va bien.
J'espère. Je C mm où ÇA mène. Mène.
Jusqu'où ÇA va, va.
Je C, je t'aime
autant qu'avant vrai_ment,
au-delà comme il se doit,
quoi qu'il en soit, avec C oh et C bah,
que tu y sois ou pas. G pris/moi
et le temps pour longtemps maintenant.
in ACCALMIE

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire


C gentil tout plein de te fendre d'une petite note, dis !
Seule_ment n'oublie pas d'indiquer ton petit nom voire 1 lien si tu espères une réponse.

Abrazo