mercredi 10 juin 2020

Le CADET de MES SOUCIS

Les casse-couilles peuvent con_textualiser ce qu'ils veulent, Autant en Emporte le Vent ou ta mère, je me souviendrai qd mm de Robin Williams recommandant de déchirer une préface pour être libre. L'émotion est à ce prix, l'art aussi. 
Et que Warner Bros s'immisce dans les affaires françaises en obligeant la plus belle salle de cinéma à déprogrammer mon film préféré, sans qu'aucun membre du gvt ne s'en offusque ne serait-ce pour récupérer une indemnisation sur le manque à gagner, le préjudice, 
que HBO pas si Max vide tout son catalogue par opportunisme voire prudence, nous avons la possibilité de nous fournir sur la plateforme concurrente et comme tj largement meilleure Amazon, n'en déplaise, -ON commerce ou pas ?- laissant comme il soit le mot de la fin au capitaine ("Oh, Mon Capitaine !") Rhett Butler : « My dear, I don't give a damn. » autant dire : "Balec !" selon l'expression actuelle, 80 ans après. 
plutôt qu'à Charlton Heston au fond de la Planète des Singes, découvrant la statue de la liberté engloutie dans le sable de nos inconséquences : "Ce n'est pas possible, (...). Ce monde de cauchemar, c'est la Terre. Les criminels ! Ils les ont fait sauter, leurs bombes ! Je vs hais ! Soyez maudits jusqu'à la fin des siècles."

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Abrazo