Contre tte attente, malgré Castella +Mazanares, le froid exfiltré d’Arles, vendredi 13 en prime, il (ns) a conquis. 2x1 oreille sans DJ Valade présidant. Combien convenait pareil déjà ds les gradins ou encore plus tard, à me retourner pour confirmer ?
Ouverture en brindis à sa mère, minimum, pas De Maria pour rien. Faena de douceur et profonde aux bourrasques de bourrin en circonstance atténuante puisk’il faudra compter avec elles tte cette feria nîmoise a priori, dite des Ven_d’anges ke mes barbarismes +néologismes signatures, exhausteurs de sens se justifient.
Corrida d’alternative sans attente réelle, fils à maman tte aussi blondasse. Le minot Lalo k’ON moquait Lola en me disant ke Nilda Fier_nandez avait bien aussi joué à inverser son patronyme sans que cela ne m’empêchât l’apprécier au +au point. Le regretter autant. &la ritournelle de LaPetiteCulotte en fond sonore : « C'était Loli, c'était Loli c'était Lolo, c'était Lola C'était Loli c'était Lolo, c'était Lola, La goffa Lolita »
Pourtant quelle maîtrise. Il sort d’où celui-ci ? S parce que je ne v jamais aux novilladas k’il c coltinées qd je préférais cuver c dernières années, k’il pouvait se pointer devant ce bestiau Jandilla déclassé Vegahermosa, hélas comme souvent ds c circonstances d’examen sans rechigner, prêt, solide ? Torero, pétar ! Classique mais/et satisfaisant. Accessit. 1 oreille d’accueil. ‘verra la suite.
Manza’ délicieux en génuflexions d'écho ponceniste et son recibir 2 légende aussi incontournable k’1peccable. 1 oreille. Pas de suite : deuil ki ne se digère pas. Sebastien ne s’en sortira jamais. Ni au premier ni au 2ème. À se demander si cela venait réelle_ment 2 lui ou d partenaires. Nobles, mais dégénérés. Des dingues à forcer les courants d’air et parfois le chiffon. Comme une génération sans culture qui ne respecte plus le patron. Avis & saluts.
Puis Lalo revint pour le final. En finir, fais fissa, fiston : ON se les gèle sur notre derrière, la patience et l’espoir, après tant de déception pour les nvx tontons. Qui aurait auguré qqch de bon pour le dernier de la session, avec ce froid qui prenait sans façon ttes les cuisses pourtant généreusement à découvert des spectatrices projetant pendant mes vues leur soirée jusqu’à leur nuit et ma gorge où enrouler le foulard que j’arbore d’ordinaire pour laisser entrevoir mon poitrail encore bronzé avant de me résoudre à le couvrir pour l’automne ki s’apprête & la crève en sujette qu’ON appelle Covid doré_navrant ?
Point d’interrogation vite dégagé d’entame en attrapant à genoux les premières charges du brave dont ns n’en demandions juste qu’il ns délivre rapido de cette glaciation inimaginable. Finissons-en, bon sang glacé. C’était ce qu’il fallait pour réchauffer l’ambiance. Retour aux fondamentaux comme il faut finale_ment qd tt dégénère. En demande-t-ON + en tauromachie ? Pourkoi sommes-ns là sinon tradition ? Ke rien ne bouge pour ke tt bouge, actualité contrariée. S’arrimer contre putain de vent et années. Les règles et l’ordre, à paraître de prime abord (?) coincé voire réac. Un truc proche de dictature à croire. Une charge, une passe qui n’esquive pas et accompagne, prolonge comme une longe. Tourner. Toréer comme j’écris. « Eh, musica ! » Derechezos, naturelles. Douceur et emmêle.
Que le souffle frigorifiant cesse, pas de gêne. Écart d’heurt, 15 minutes pour en finir sans savoir quand ni comment. Rien d’écrit, l’aficion tient là aussi. Des gens à l’extérieur ne comprendront jamais rien. Demanderons des justifications avant explications à des chirurgiens plutôt pressés de partir en we ki invoqueront du courage pour ne pas avouer silence en échange… La danse, le toque, la beauté ; mèche blonde en signature qui veut dire Lalo ! Si ces pro ou anti-fans ne voient pas la corne pleine et épaisse de menace qui peut ouvrir un ventre et distribuer des boyaux en extérieur ou tailler une artère fémorale palpitante et + pour l’extirper d’un muscle à arracher ; frôler une veste de lumière flambante qui se déchirerait pour laisser jaillir du sang exubérant enfin assez chaud pour rétablir des températures supportables ou attraper l’aine pour la trimbaler en l’air en agrandissant la perforation et la blessure crescendo,
peu importe en vérité ce que fait ce torero au sixième dont tt le monde se fout d’ordinaire, parce qu’il se fait tard, que les chips et chouchous ne suffisent plus à retarder l’apéro, qu’il faut choisir où dîner après, Bruno du Victor Hugo ou Monsieur Chouette et sa disponibilité d’aboi, place d’Assas, se retrouver au moins, Brasserie des Arènes, malgré les piliers aux comptoirs qui n’imagineront jamais laisser l’accès aux suivants ? Sans trop tarder pour tenter surtout ensuite Los Filósofos où Tony officie aux platines et des fois y retrouver cette assoc' de supportrices rugby dont le coah trouve ke g « La Classe » ou koi ke ce soit puiske 421 est parti dépéri en sucette de belle lurette et modernité d’ignorant.es confirmé par la disparition de Rodolf dit Fox cette année (RIP) à la recherche d’esprit disparu en repère gayfriendly.
Il y a longtemps qu’une estocade n’avait été aussi foudroyante, celle qui acquitte de la culpabilité et ne souffre ni discussion ni réclamation, simple_ment pas : peut-être Denis Loré en son temps. Eliane penchait davantage Paquirri. Épée et chute. Comme il faut. Rien à redire ni atermoiement ni salir. Sauf puntillero x4... Applaudissement, oreille. Olé ! Lalo est bien arrivé.
Il y était, moi aussi, bien. Tant mx &tant pis si je m'y suis gelé trop pour fêter ÇA au Ricard après. Comme il se doit, comme quoi une feria ce n’est pas k’une beuverie, mais d’abord une cérém_honnie 2 toros &2toreros. C d’abord pour ÇA que l’ON dont moi vient. En 1er, de tt temps, si si ! pour preuve, la corrida hypnotique a fini par l’emporter sur le comas éthylique. Ki peut croire ke j’a(va)is besoin d’1 billet d’entrée pour picoler ? L’autre draguait l’1, 1so ou pas. Elle l’a supplanté entre les deux cornes récurrentes du lendemain de défaite. Maintenant va sans lui, sans regret. Se sortir a hombros de ttes c conneries alcooliques et finir plutôt chez le vrai franj1 jamais frérot de pacotille d’époque, à deviser au lieu du caniveau à cajoler. Le temps a fait son affaire, le bon grain, l’ivresse. L’âge est venu, l'ange est dessus. Salut.
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Abrazo