Poupée piégée, jolie au portable, calée en contresens et face à mon désir. Un cadeau de fin de journée qd le soleil n'en fait pas assez.
© LucasTj est-il que ns avons voyagé ensemble jusqu'à République. Correspondance où G cru te perdre en te voyant me dépasser, sautillant dans 7 escalier pour finalement te retrouver sur le même quai des Lilas. Un peu + loin, un peu trop loin en tête. Tu descends où toi qd tu as fini tes sortilèges ? Tu remontes sur quel nuage ?
Tte brune et même noire tant cette couleur gaînait ta crinière raide, cette implacable beauT qui couronnait ce décolleté fantastique. Pendue au téléphone comme j'aurais aimé l'être à tes lêvres. Sans interlocuteur pourtant, une contenance ? Un insolent message de rendez-vs ? Ailleurs ou tracassée ds ta tenue marron et tes tennis aussi. Si jolie et si seule.
Subjugué par cette douceur, cette évidence de trésor découvert qui somme ts les canons de se taire. J'aurais tant voulu me mettre à ton service et tes orifices, te rendre le sourire, se bella ragazza.
L'aiguille ds la botte de foin, la bouteille à l'amer... un commentaire.
Un abrazo et à bientôt sur nos lignes...
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C gentil tout plein de te fendre d'une petite note, dis !
Seule_ment n'oublie pas d'indiquer ton petit nom voire 1 lien si tu espères une réponse.
Abrazo