Quand le séjour est consommé, le po1 de mon retour arrivé, la date du départ a sonné, le tr1 part. Ma joie en profite et m'échappe. Quand la seule perspective consiste à réintégrer sa cellule, reprendre le collier, la faillite des espoirs est acquise. Rentrer déclasse, bi1tôt la crasse-matinée.
Que la principale intention soit d'arriver à l'heure, remplir son labeur, assurer sa mission, sans autre raison que de ne pas faire faux bond, donner satisfaction pas démission, honorer son contrat sans savoir pourquoi, n'augure ri1 2 bon.
Tout devi1 étrange. Les repères sont là, les nausées aussi. La dame qui mendie en haut des marches, celles qui se répartissent sous les porches + mes prières à l'arrache. Il y a tout qui cloche : naviguer, s'accrocher et s'1quiéter de lâcher. A quoi bon ? Je me suis mis en Tête d'aider, protéger, soulager. Serviteur à mes heurts, infirmier infirme, je suis le recours à la facilité. Tout CA pour m'occuper, ne plus penser, compenser.
Mais...
Même mes idoles s'étiolent, mes étoiles s'affalent. Les artistes vieillissent, les autres m'attristent. Seulement seul jusqu'ici, me voici de trop doré-navrant. Je tends vers qui alors ? A quel tournesol sans soleil, je vire ? Qui m'imprimera cette envie qui m'a fuit, m'enlèvera cet ennui qui m'emplit ? Toutes les bonnes choses ont une f1, mais je reste sur la mienne. Le spectacle s'achève et mes rêves. Au réveil, le retour à la réalité est sans 1térêt. J'ai tout dépensé.
Mes amis disparaissent, qu'ils meurent ou me délaissent. Ma famille s'affaisse, que ma soeur faiblisse ou mes parents pâtissent. Je glisse au bord du précipice 1quiet du sacrifice. Le prix s'affiche et je suis fauché.
Le taff, le staff, que des agrafes qui aggravent. Auc1 contact et nulle entente. Notre misère, l'appeau de chagr1, celui de chac1 qui s'en ti1 à son bureau, le piètre lot, la bonne figure. Quelle torture. Open super spéc'. Des sorts gisants, des errants désolés, des isolés plombant. Et le piège se resserre, la porte à faux se referme. Les oiseaux me narguent et quelques nuages m'enragent.
Le laisser là pour ne pas en rajouter à l'entourage qui n'y échappe pas mo1. Des mots en écho, l'avantage du tableau, la trace n'efface que ce qu'elle préface. CA va aller, CA va toujours. Il y aura encore des moqueurs, des professeurs et autres pollueurs. Qu'ils aillent voir ailleurs.
Le chauffage en panne et la phrase de Picasso : "Quand je n'ai plus de bleu, je mets du rouge." n'arrangeront ri1. Au contraire, j'étais pas plus mal à dormir dans la neige sous Mamia qui ronflait. Je n'ai commencé à détester le froid qu'à Kragujevac, quand les bombardements de l'OTAN se sont mélangés partout aux flocons pourtant blancs et surtout que tu m'as laissé en plan.
Ma fuite m'a débordé. La suite n'est plus dans mes idées.
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Abrazo